Champ de mines
Aujourd'hui, pendant que l'ouvrier transformait le bout du terrain en gruyère, j'ai commencé à tracer mon chemin de jardin avec des parpaing trouvés là...
Histoire de pouvoir parcourir le potager les pieds au sec en toutes circonstances.
A la fin de la journée, le bout de notre parcelle était prête à recevoir la terre végétale que nous allons remettre sur le terrain, avec un trou d'environ 1m2 prévu pour chaque fruitier afin qu'il puisse, au moins au début, étendre facilement ses racines et se nourrir d'autre chose que de craie.
L'ouvrier qui a creusé s'est un peu moqué de moi quand ce matin j'ai défini avec lui très précisément l'emplacement des trous avec des ficelles (en triangulant les mesures par rapport aux bornes du terrain enfin posées, même si pas partout). Mais au moins chacun aura une place précise, calculée en fonction des voisins près desquels il doit être pour être correctement pollinisé mais également de son envergure et de sa hauteur finale...