Y'a pas l'feu !
On aurait pu imaginer Sylvain me dire cela, tant nous avons mis de temps à faire notre premier feu dans la cheminée. J'ai quand même craqué pour la maison en partie parce qu'elle en avait une ! Plus d'un an que j'attends ça avec impatience ! Mais ça y est, les premières flammes ont embrasé hier soir les bûches préparées par Sylvain pour l'occasion.
Bon, c'est vrai, il faut reconnaître que contrairement à chez mes parents où je n'ai aucune crainte, là le foyer est fort ouvert... et le renfoncement très peu profond. Il va peut-être falloir envisager des aménagements si l'on veut pouvoir en profiter sans risque. A suivre... Plus tard. Y'a pas l'feu ! ;-)
Celui qui met le feu au jardin par contre, c'est le jasmin d'hiver.
Enfin, une petite flamèche plutôt, car il n'a pour l'instant qu'une fleur d'ouverte hihi !
Sur les massifs multicolore et du prunus, des iris reticulata plantés récemment sont déjà sortis.
Mais à ras de terre !
Alors soit ils étaient pressés (plantés tardivement, je peux le comprendre), et sitôt qu'ils ont vu le jour ils se sont ouverts, soit je les ai plantés trop profonds. On verra l'an prochain, car dans le premier cas je pense que cette fois ils prendront le temps de faire une tige d'abord pour se dresser un peu plus haut, et dans le second... Ben ils refleuriront aussi bas que cette année ! :-D
Il y a un peu de couleur aussi Côté Nord, avec une deuxième hellebore (dont j'ignore hélas le nom) qui fleurit, plus foncé que la précédente, d'un joli aubergine, et avec des pétales en double rang.
Note à moi-même : pour en profiter, planter les hellebores plus surélevées, parce que là il faut se mettre à genoux et les regarder par en-dessous pour vraiment pouvoir les admirer. Mais j'en imagine bien quelques-unes le long des murets de la descente du garage, comme ça on passerait plus bas qu'elles et on les verrait bien...
Ou alors... Il faut être un chat ! Eux qui pourraient en profiter à loisir s'en fichent complétement, et préfèrent au contraire prendre de la hauteur.
Comme Pépita sur les montants de la chatterie (qui deviendra probablement un jour poulailler)
ou Malo qui dépasse de l'armoire de la terrasse...
Amusante, non, cette cabane à queue ?
Mais que peuvent-ils bien se raconter, ces ennemis inséparables ?
Ils sont toujours fourrés dans les pattes l'un de l'autre alors qu'ils passent leur temps à se chamailler, allez comprendre !