ça y est, c'est fait, j'ai nettoyé à grandes eaux les radiateurs. Je comptais les repeindre, mais en fait maintenant qu'ils sont propres on se dit qu'il n'y a même pas besoin...

Et tant que j'étais trempée, j'en ai profité pour décrasser aussi la porte qui sépare le salon de l'entrée :

Il y a même une petite curieuse qui s'est perchée sur le bord du bassin pour m'observer :

Il y a trois ou quatre grenouilles dans la mini-mare. J'en ai même caressé une l'autre jour, je n'en revenais pas qu'elle se laisse faire !!! (elle était peut-être tétanisée par la peur, remarquez !)

J'ai toujours rêvé d'avoir un hamac. Voici mon rêve partiellement réalisé.

Totalement au niveau du hamac, que j'ai choisi pour deux personnes histoire qu'il soit bien large.

Un peu moins au niveau du support, mais c'est tout de même drôlement bien que ça existe, les supports comme ça, qui permettent de profiter de l'"effet hamac" même si on n'a pas deux arbres entre lesquels le suspendre ! En plus, c'est même pas moche ! ;-)

Peut-être un jour pourrais-je suspendre un hamac entre les branches de nos arbres, mais ce ne sera probablement pas celui-là, car étant donné la taille actuelle des scions plantés, ça n'est pas prêt d'arriver ! ;-p

Dans la maison.  Où le dessus du mur cassé a été lissé.

Pour l'occasion, on a fêté ça avec des sushis dégustés à la lueur de chandelles bougies chauffe-plat.

C'est moins romantique, mais ça éclaire bien aussi, hihi ! ;-)

ça y est, petit minet a fait connaissance du salon, et de Miss Pépita. Qui, sans grande surprise, ne l'a pas accueillir à bras pattes ouvertes !

Il est trognon, tout sage et bien câlin ce chat, je l'adore déjà !

Je me suis lancée dans le ponçage des bandes des plaques de placo de mon futur dressing. Heureusement que nous avons investi dans une ponçeuse électrique car je ne me vois pas faire tout ça à la main avec un morceau de papier de verre !

La casquette, c'est pour ne pas être embêtée par mes cheveux ! ;-)

Les lunettes, je ne peux pas les enlever (je ne vois rien sinon !) mais c'est très peu pratique car du coup je ne peux pas mettre les lunettes de protection, qui glissent bien que soit-disant conçues pour être superposées à une autre paire, et elles prennent tout de suite une belle couche de poussière de plâtre, ce qui fait que je suis sans arrêt obliger de faire des pauses pour les dépoussiérer !!!

Je suis restée avec le petit chat aujourd'hui, je ne vais pas le ramener à l'appart' et puis me sauver, le laissant tout seul (pour l'instant on garde le chaton et Pépita séparés, histoire que le petit s'habitue d'abord à nous, à sa litière, à sa boîte, à son espace repas etc. avant de lui présenter la maîtresse des lieux) !

Du coup, c'est Sylvain qui m'a ramené quelques photos prises avec son portable pour me montrer comment ça évolue à la maison. Les maçons sont en effet enfin venus casser le mur porteur qui séparait la véranda et la pièce rose, ainsi que le mur entre la cuisine et le salon, et le plombier a attaqué la douche de la salle de bain du haut.

Je vous ai fait des petits montages avant/après des pièces en question, pour mieux se rendre compte de la différence :

Le futur bureau-studio, le 14 et le 21 juin (les croix représentent les murs cassés) :Il restera à remonter un mur pour séparer cette nouvelle pièce de la véranda, et à y ré-inclure la porte qui menait à l'ex-cagibi que l'on a fait conserver.

La cuisine désormais ouverte sur le salon :

Et finalement, ils ont même réussi à préserver le bas du mur ! Ils ont encore les finitions à faire...

Vous pouvez admirer au passage un petit bout de carrelage "rouge boucherie". ;-p

Et la salle de bain du haut, en cours de rénovation, les 14 et 21 juin :

ça prend forme. Le "parquet" (c'est du plastique) résistant à l'eau est posé, ainsi que le carrelage et le bac receveur de douche.

Regardez ce que je suis allée chercher à Poix-Terron aujourd'hui :

N'est-il pas trop chou ce petit minou ?

Je l'ai prénommé Malo... Et j'ai passé toute ma soirée assise avec lui par terre dans la salle de bain, pour l'apprivoiser. Il est adorable !

Son papa est un norvégien et sa maman une siamoise. On verra au fil du temps de qui il a hérité ses traits de caractère, mais pour le look à mon avis ça vient plutôt du paternel, hihi !

Je vous ai fait hier faire un tour pour constater l'évolution de l'intérieur de la maison. Aujourd'hui, je vous propose de voir comment se porte le jardin.

Si ça vous intéresse, suivez-moi !

On commence par le devant de la maison, où j'ai installé un petit banc près de la "mini-mare" :

Dans le fond vous pouvez apercevoir un big bag. Il est rempli d'écorces de pin que je compte étaler sur le massif (pour faire joli et me dispenser du désherbage).

De l'autre côté de la maison, d'abord une vue générale de ce qui est en "jauge améliorée" et pousse gentiment en attendant que je m'en occupe:

Les oignons étaient là, en bordure de potager, alors on les y a laissés. ;-)

La terre, autour des bébés arbres fruitiers, au niveau du verger :

Il reste à l'étaler ENTRE les arbres...

Comme vous pouvez le constater, là où il n'y a pas eu de terre rapportée, on est directement sur de la craie dure.

Au potager :

Alain m'avait donné des pommes de terre quand nous sommes allées à Noirmoutier, mais comme j'ai pas mal attendu avant de les mettre en terre, elles avaient une sale tête. Du coup, j'ai tout mis, en me disant que peut-être certaines d'entre elles arriveraient quand même à pousser... Eh bien, elles sont quasiment toutes sorties ! Résultat, maintenant elles sont toutes serrées... ;-p

Il y a 3 rangs de "patates mystères en mélange" et au fond un de Charlotte :

Vous pouvez constater en passant que j'ai continué mon "chemin de jardin" en parpaings de récup'...

Mon "Beau-Père" (les guillemets, c'est parce qu'il ne l'est pas vraiment, étant donné qu'avec Sylvain nous ne sommes pas mariés !) m'avait aussi donné des plants de salade, que j'ai tout autant tardé à repiquer en pleine terre. Eh bien, ils n'ont pas l'air d'en avoir pris ombrage non plus, car à part quelques-uns (vous voyez d'ailleurs les trous), ils ont super bien repris une fois en place !

Les 5 salades vertes, c'est un don de plants de Maman. Je n'ai donc pas eu à acheter de plants cette année. ;-)

Un peu plus loin, il y a quelques rangs de radis. Ceux qui cavalent devant (à droite sur la photo), ce sont des classiques 18 jours. Après ces 2 rangs, il y en a deux constitués de rubans de graines en mélange de couleurs, et tout à gauche, un avec des radis verts à coeur rouge acheté sur Ebay chez un vendeur chinois. J'avais des doutes, mais ça pousse... Moins vite que le reste, cependant.

Si on se retourne enfin, il y a les tomates, fenouils et compagnie, mais ils n'ont pas beaucoup changés depuis que je vous les ai montrés la dernière fois :

Au fond, le bac à compost que Sylvain a commencé à monter, et le long du hangar les jardinières destinées à y être accrochées, avec les mélanges de plants de fleurs de chez Baumaux (Ayers Rock et Je-ne-sais-plus-quoi) à l'intérieur.

Maman étant venue nous aider à enlever le papier peint dans la pièce qui deviendra le futur bureau/studio, j'ai sorti mon appareil pour immortaliser ça.

J'ai profité de l'avoir en main pour prendre quelques clichés afin de vous faire profiter de l'évolution de nos travaux dans la maison... C'est partiii !

Le bout de la véranda est aménagé plus ou moins tel qu'il sera à terme :

C'est bien agréable de prendre un petit verre au soleil !

On fera des rénovations plus tard, quand on aura les finances, pour l'instant on préfère s'occuper du reste de la maison, là c'est encore potable...

A droite, vous apercevez "Fifi", un ficus déniché sur le Bon Coin. D'ailleurs, les sièges viennent aussi d'un vendeur particulier, ainsi que la table, de chez un autre...

Pratique ce site d'annonces pour meubler avec de l'occasion. Il faut dire que nous passons de notre appart' en HLM d'environ 60m2 à 135m2 habitables (donc plus avec le sous-sol et les parties non comptées de l'étage) et que donc, même avec tous nos meubles, il y aurait eu du vide.

On a commencé à amener tout mon bazar de scrap dans la pièce du haut orientée au sud qui va devenir ma "scraproom" :

Mais ce n'est qu'un début, il doit y avoir encore au moins autant de cartons à l'appart' qui attendent leur tour pour déménager. ça, c'est l'avantage d'habiter le village d'à-côté, on peut apporter les choses au fur et à mesure, pas besoin de louer un gros camion. (enfin, on sera quand même obligés de le faire pour transporter les gros meubles et le canapé, mais tout le reste on le déplace petit à petit)

Cette pièce étant relativement propre, on ne va pas y toucher pour l'instant. Le "lustre" est d'origine, lui par contre on va peut-être quand même le changer...

De l'autre côté du mur, la future chambre d'amis est désormais elle aussi dépouillée de sa vieille moquette et de son papier peint.

Le parquet que nous avons choisi pour cette pièce y est déjà entreposé, mais on n'est pas prêts de le mettre, car il va d'abord falloir que nous arrivions à égaliser le sol pour l'accueillir !

J'y ai passé pas mal de temps à reboucher tous les trous des murs et du plafond, découvrant au passage les joies du plâtre à prise rapide. Le précédent occupant était un nerveux, il y avait plusieurs trous vraiment sérieux faits à coups de poing ou de pied sous l'emprise de la colère (dixit son père).

Moi j'ai préféré me défouler en arrachant le papier peint de l'entrée... Là où je pouvais l'atteindre du moins ! C'est un ouvrier qui a un échafaudage qui s'occupera de finir ça et de poser le nouveau, vu la hauteur.

Je me suis aussi occupée de poncer les poutres du dressing, que je compte bien laisser apparentes. Le placo est posé et la cloison qui le sépare de la salle de bain désormais entièrement fermée.

Voici à quoi il ressemble maintenant, et l'ouverture de la chambre sur cette petite pièce supplémentaire :

Quant à Sylvain, il s'est occupé de dégager autant que possible l'installation électrique du mur entre la cuisine et le salon qui doit être cassé sous peu par les maçons :

Admirez au passage ce magnifique papier, qui doit probablement dater de l'époque de construction de la maison.

Je vous dispense des images de l'extérieur pour aujourd'hui, mais demain vous n'y couperez pas ! ;-p

Aujourd'hui Damien, un ami de David le camionneur qui habite non loin de chez nous et s'est occupé avec ses hommes de charier la terre, est venu étaler cette dernière avec une mini-pelle.

Nous lui avons proposé de partager notre repas à midi. Et en dessert...

Tout un bol de mariguettes du jardin ! Elles sont belles, non ?

Je me répête, certes, mais quel plaisir de déguster les fraises de son jardin, alors même que celui-ci n'est pas encore vraiment installé ! (ni nous d'ailleurs)

J'ai fait un troc avec l'ouvrier qui nous fait la salle de bain : en échange de la conception de son site Internet, il posera avec Sylvain le placo dans ce qui va devenir le dressing attenant  à la chambre. Les maçons ayant coulé la chappe au sol pour en égaliser la surface et lui ayant posé un velux pour apporter de la lumière, ils ont pu attaquer aujourd'hui.

Je n'y étais pas, la photo vient du portable de Sylvain qui l'a prise pour me montrer l'avancement des travaux du jour :

Je viens de m'apercevoir que ces "sgrogneugneux" de camionneurs avaient déchargé de la terre sur mon rond de fraisiers ! Alors que j'avais justement spécifié de faire attention, en plus !

Resultat, les fraises gentiment données par Jocelyne sont mortes écrasées sous des tonnes de terre. :-(

La terre végétale est enfin arrivée !

ça n'a pas été évident d'arriver à organiser tout ça, pour avoir tout le monde en même temps, mais on y est arrivés. ça valait le coup d'insister, parce nous n'avons pas payé la terre, qui venait d'un chantier, nous avons seulement payé les livraisons.

Moyennement réussies parce que le tas est en partie sur le futur chemin (donc une partie de terrain qui n'est pas à nous) mais on n'aura qu'à commencer par prélever ce qui dépasse...

Et mes petits plants potagers tout juste plantés ont soif. Enfin, pas trop, parce que je prends bien soin d'eux et que régulièrement en soirée je viens leur apporter de quoi se désaltérer...

Ici vous pouvez apercevoir les plants de tomates, donnés par Alain et maman, et la rangée de fenouil acheté en Bomottes. Il y a aussi un "cucurbitacé mystère" apporté par Alain (sous la cloche) et, à gauche de la rangée de fenouil, les navets. Juste devant moi, c'est mouillé parce que j'ai arrosé mes deux rangs de carotte. Un de Nantaise améliorée, et un de carotte violette.

Je vous rassure, ce que j'arrose de si haut, ce ne sont pas les pieds de tomates mais les jardinières qui se trouvent derrière, le long du hangar.

L'avant de la maison évolue peu à peu. Je n'ai pas encore terminé l'étalement des écorces de pin mais c'est en cours, ainsi que la délimitation du massif élargi par des pierres meulières.

C'est plus joli sous le soleil que sous la pluie de novembre, non ? ;-)

D'ailleurs, à ce sujet, il m'en manque pour finir ma bordure. Si vous savez où en trouver dans la Marne, n'hésitez pas à me "refiler le tuyau" !

J'ai aussi effectué ma première taille de haie. Bon, ben... C'était une première, quoi. ça sera mieux la prochaine fois ! ;-) (heureusement que ça repousse ! Et puis, comme diraient les québécois, après tout, "c'est pas si pire"...)

La voilà ! La première fraise mûre de la saison, et ma première fraise en tant que jardinière ! ;-) C'est probablement un peu ridicule mais j'en étais toute retournée. Quel bonheur de pouvoir manger SES propres produits, que l'on a fait pousser avec amour, chouchoutés, attendus...

Le simple fait qu'elle vienne de mon jardin me l'a fait paraître cent fois meilleure ! ;-)

Alors oui, c'est vrai, je n'ai pas désherbé mes fraisiers. Est-ce à cause de cela que ni oiseaux ni limaces n'ont touché aux jolis fruits rouges pourtant bien appétissants ? Peut-être bien...

Aujourd'hui, pendant que l'ouvrier transformait le bout du terrain en gruyère, j'ai commencé à tracer mon chemin de jardin avec des parpaing trouvés là...

Histoire de pouvoir parcourir le potager les pieds au sec en toutes circonstances.

A la fin de la journée, le bout de notre parcelle était prête à recevoir la terre végétale que nous allons remettre sur le terrain, avec un trou d'environ 1m2 prévu pour chaque fruitier afin qu'il puisse, au moins au début, étendre facilement ses racines et se nourrir d'autre chose que de craie.

L'ouvrier qui a creusé s'est un peu moqué de moi quand ce matin j'ai défini avec lui très précisément l'emplacement des trous avec des ficelles (en triangulant les mesures par rapport aux bornes du terrain enfin posées, même si pas partout). Mais au moins chacun aura une place précise, calculée en fonction des voisins près desquels il doit être pour être correctement pollinisé mais également de son envergure et de sa hauteur finale...

Le rosier grimpant de la chatterie a enfin dévoilé ses fleurs... Elles sont jaunes.

En voici une, mise à l'honneur dans un soliflore, qui trône avec fierté sur la table basse de la véranda:

Sylvain étant au travail, c'est moi qui me suis occupée d'accueillir l'ouvrier venu aplanir le bout du terrain. J'ai profité du fait qu'il fasse encore jour après son départ pour prendre quelques photos (avec mon portables, désolée pour la qualité) pour montrer à Monsieur la métamorphose du paysage...

Il a gratté la terre/craie du haut de la pente du terrain pour la faire descendre et essayer d'égaliser un peu la pente, et rabattu de la terre contre le hangar sur le reste de la longueur pour continuer le jardin surélevé.

Le bout est enfin "lissé" !

Il reste à faire des trous dans la craie pour planter par la suite nos arbres fruitiers dans de la bonne terre que nous aurons mis à l'intérieur... Mais ce sera pour demain.

Maman est venue nous donner un coup de main pour les travaux d'intérieur aujourd'hui.

Elle s'est occupé d'eliminer le papier peint de notre future chambre pendant que Sylvain jouait les démolisseurs dans la cuisine.

Tellement que les plantes mises en jauge dans le jardin ne tiennent plus sous les voiles, mais de toute façon les grands froids sont passés maintenant... Le jardin est un peu en fouilli, mais en attendant que chacun puisse être planté à sa place définitive les végétaux se tiennent compagnie les uns les autres.

Quant à la pelouse, elle se pare de jolies couleurs. C'est pas mal non plus, le gazon à l'état sauvage !

Ma collection d'oiseaux en métal s'étoffe peu à peu. Ils occuperont les massifs sur le devant de la maison.

Pendant que je m'occupe des plantes, Sylvain se met au bricolage...

Ici il essaie de remettre en état le portillon de la terrasse, mais c'est peine perdue, le précédent bricoleur ayant fait n'importe quoi. :-/