Vu le temps que j'ai passé au jardin la semaine dernière, je dois maintenant penser sérieusement à rattraper le retard pris dans mon travail.

Il y en a qui ne s'en plaignent pas !

Je passe donc juste de temps en temps déclocher/reclocher les rhubarbes qui sont encore dans la jardinière mais qui poussent tellement bien que bientôt je vais être obligée de les déménager.

C'est bête, j'en ai cassé un pied sur les trois l'an dernier, en désherbant autour, je ne savais pas que c'était si fragile...

Je profite de ce petit post pour vous montrer les cactées et succulentes qui se développent doucement dans la véranda, en attendant que j'aie le temps d'installer dans une vieille valise le jardin miniature que j'ai en tête...

Il y a eu tellement de vent aujourd'hui que le lampadaire de l'entrée est tombé.

Il faut dire que la précédente "mini tempête" l'avait déjà fait vasciller et que du coup ses vis de soutien ne tenaient plus trop... Mais nous n'en avions pas sous la main pour les changer. Résultat, deux des lanternes sont cassées maintenant ! :'-( Je l'aimais bien, il participait au charme de la maison, avec les petits lions à ses pieds. J'espère que Sylvain va pouvoir réparer ça. Sans trop tarder surtout !

Quant à nous, bravant les rafales, nous avons continué d'avancer dans les aménagements extérieurs.

J'ai déplacé les roses de Noël que j'avais mises en jauge à leur place définitive (du moins pour le moment, hihi) côté Nord.

Finalement, j'ai déjà changé d'avis pour le rosier New Look. Il était trop enfoncé entre le groseiller à fleurs et le thuya, et la grosse souche que je vous ai montrée l'autre fois empêchait de l'avancer plus. Résultat, il s'est fait déménager quelques mètres plus loin, pour avoir plus d'espace pour pousser et qu'on en profite plus.

Et tout ça sans déranger le petit gros hérisson, qui pionce toujours à pattes fermées ! (oui, j'avoue, j'ai fait ma curieuse, j'ai vérifié délicatement)

Les rosiers Claude Monet, Léo Ferré (offert à Sylvain qui contrairement à moi adore ce chanteur) et Chimène sont venus rejoindre le massif de devant pour les deux premiers et celui de la piscine pour le 3ème.

En fleurs, d'après les photos trouvées sur le Net, ils donneront quelque chose comme ça :

J'ai aussi mis sur la ligne de séparation pelouse/cailloux les iris de chez Promesse de Fleurs et Koeman (en vraiment piteux état ces derniers, je ne vois pas comment ces machins tout secs pourraient reprendre, mais bon, on verra bien !).

Cet après-midi, nous avons tous les deux réfléchi à l'installation du bassin de la gloriette. Enfin, le bassin lui-même est déjà en place puisque Franck en a pris l'initiative (comme celle de couler du béton dedans, groumpf !), mais pas les plaques qui vont permettre de faire ruisseler de l'eau dedans. Sauf que pour les mettre en place, il nous faut fabriquer une petite colline, et c'est là que Sylvain et ses biceps interviennent, hihi. ;-)

Au départ j'avais envisagé de faire une petite "cascade" pour que l'eau retombe au-dessus du bassin en chute. Mais on a essayé différents placements et au final je ne trouve pas que ça fasse très beau car dans tous les cas on verrait les bords des plaques (en plastique). Donc, même si ce sera moins "impressionnant", on va opter pour de l'eau qui ruisselle, d'une coque à l'autre puis sur une petite pente pour regagner le bassin.

Il faut juste que je trouve une idée pour que l'eau en glissant ne lave pas la terre, la faisant tomber dans le bassin...

Des suggestions ? (j'ai déjà mis du plastique sous la pente, pour qu'elle ne s'incruste pas dans la terre) J'ai bien pensé à mettre des plantes submersibles (trèfles d'eau en l'occurence), mais le temps qu'elles s'enracinent, elles ne seront pas sous l'eau, alors comment faire ? Les arroser tous les jours pour que leur pied reste humide et lancer le ruissellement de l'eau une fois qu'elles seront bien implantées et que leurs racines seront en mesure de retenir la terre ? Je ne sais pas si ça peut marcher.

Côté plantations, j'ai mis près du bain à oiseaux (toujours pas réparé, ni fixé au sol, ce qui fait qu'au moindre coup de vent il est par terre) le cytise "La Coquette" et le rosier Chocolate Ruffle.

Ce dernier (en bas à gauche sur la photo), acheté chez Jardin Pour Vous, est arrivé à l'agonie. Je doute qu'il puisse reprendre. Ses branches étaient toutes noires, couvertes de moisissures, ses racines desséchées... :-( J'ai dû le couper à ras du point de greffe, alors j'ai très peu d'espoir. En plus, bien que leur service client aie traité rapidement et aimablement ma réclamation, ils n'en ont plus en stock, donc ne pourront pas me le renvoyer... :-/

Le seul point positif dans l'affaire, c'est qu'à la place j'ai pu choisir deux autres rosiers dans leur catalogue. Donc je recevrai prochainement La Minuette et Pomponella pour compenser...

J'ai aussi planté la clématite Docteur Ruppel au pied de la borne en pierre côté sud :

J'espère qu'elle aura assez de terre pour pousser car il y en a très peu dans ce "massif" (constitué exclusivement d'un arbuste dont j'ignore le nom). Je ne sais pas si dans quelques années les choses ne changeront pas de ce côté-là, mais pour l'instant, il reste, car il y a déjà suffisamment à faire ailleurs !

Dans le massif au pied de l'escalier, les muscaris (qui ne resteront pas là puisque cette zone est censée être orange, jaune et rouge) se dressent enfin au-dessus de leurs imposantes touffes de feuilles.

Il y en a quelques-uns aussi de l'autre côté du fameux escalier :

Je pense que les autres iront les rejoindre, il faut juste que je me renseigne sur le meilleur moment pour les déplacer...

Ah, et une question pour celles et ceux qui jardinent. Des pousses sont ressorties dans ma jardinière. Sauf que je ne sais plus ce que j'y avais mis l'an dernier. Des hémérocalles, peut-être ?

Qu'en pensez-vous ?

On a de la chance, il fait beau, ou presque, tous les week-ends en ce moment. ça tombe bien, car c'est la période propice pour les aménagements. Après, il n'y aura plus qu'à attendre -et à s'occuper des travaux intérieurs de la maison- que tout ça fleurisse et s'installe tranquillement...

Ce matin, j'ai terminé le remplissage des ronds de fraisiers, avec la plantation de la dernière variété : la généreuse des Combrailles. A elles de jouer, maintenant !

J'ai aussi déplacé les phloxs -qui étaient en jauge sur ce qui va devenir le potager- dans le massif du robinet. Et j'en ai profité pour marquer d'un peu de terreau les pousses qui pointent enfin (normalement, de tulipes et narcisses), pour mieux visualiser leur emplacement.

Pendant ce temps Sylvain s'est occupé de plier tous les cartons qui encombraient la terrasse, pour que Jeannot puisse avec sa remorque les emporter à la déchetterie.

On y voit déjà plus clair :

Le rosier Berlingot a été installé devant la maison, au pied d'un thuya sauvagement ratiboisé (à ma décharge, au départ je ne comptais pas le garder) pour en masquer en grimpant le tronc abîmé.

Mais il paraît que les rosiers n'aiment pas la concurrence de racines d'arbres, alors on verra bien ce que ça donne...

Cet après-midi, pendant que Sylvain enlevait les touffes d'herbe pour me permettre de finir le tracé du massif de la piscine, et bêchait le terrain par la même occasion, j'ai terminé la séparation des zones de fraisiers dans les ronds, avec de petites pierres meulières.

Il restera les mini chemins à faire proprement au milieu pour les traverser.

En fin de journée, pendant que le Chef Cuistot allait préparer le repas, j'ai donc pu terminer le paillage du massif.

Voilà, ça ressemblera à ça :

En plus fleuri bien sûr, puisque l'objectif initial est de masquer les bords de la piscine par des fleurs hautes !

L'allée s'arrête de façon abrupte pour le moment, mais quand on aura dégagé ce fichu tas de cailloux (pas mal de courbatures et de suées en perspectives !!!) elle pourra être terminée...

Mais après mon p'tit déj', je n'ai malgré tout pas pu résister à l'envie d'aller faire un tour dans le jardin pour inspecter mes troupes.

Ni à la tentation de nettoyer les primevères du massif côté sud en ôtant leurs fleurs abîmées.

Du coup, je vous offre un (et même deux) petits bouquets de printemps :

Au moins, même si mes primevères de collection (oui, oui, ils les appellent comme ça chez Jardiland où je les ai eues) changent de couleurs l'an prochain, j'aurais toujours des photos de leur allure initiale. ;-p

Dans la haie de rosiers, ceux-ci bourgeonnent pendant que les crocus s'épanouissent à leurs pieds :

Ceux plantés en bulbes ne sont pas encore en fleurs, mais ceux achetés fleuris chez Jardiland, dont les têtes fleuries avait été cassées par le vent soufflant pas mal de ce côté-là, refleurissent, en s'adaptant aux conditions, c'est-à-dire plus bas pour lui offrir moins de prise. Malin ! :-)

Quant à mon petit chat, il guette mon retour pour venir s'installer contre moi sur le canapé...

Une fois de plus, je n'ai pas chômé en allant au jardin. La preuve avec un petit compte-rendu de mes travaux du jour :

J'ai déplacé les saponaires qui étaient dans le massif côté sud (plantées l'an dernier, elles ont bien évolué depuis, ce qui n'est pas évident ici puisque je les ai retaillées avant de prendre la photo) pour les mettre entre les pieds des petits fruitiers.

D'ailleurs, la haie a été rallongée des framboisiers Héritage, Golden Everest et Black Jewel.

Les saponaires seront remplacées dans le massif par des oeillets qui attendent sur la table dans leurs petits pots que j'aie 5 minutes pour m'occuper d'eux...

J'ai planté les framberries (croisement de fraise et de framboise) dans le petit rond de fraisiers.

Tant que j'étais par là en ai profité pour désherber les deux.

Les phloxs sont venus rejoindre les plantes composant le tour du Dôme.

J'ai bien essayé de creuser un trou pour planter mon mini poirier Garden Pearl trouvé à -70% chez Jardiland...

Mais impossible !

C'est trop dur, on tombe tout de suite dans la craie. :-(

Même chose pour le coin de la haie de rosiers à l'avant du hangar. Même en essayant de noyer pour ameublir le sol, rien à faire !

Une mission pour Sylvain, donc...

Du coup, je suis allée me défouler sur les souches du massif devant.

Il en reste encore un bon paquet à déterrer !

Côté Nord, j'ai mis en terre les astilbes avec les autres, mais je ne sais pas trop comment procéder et du coup je ne suis pas sûre de bien faire... Vu que rien ne sort ! (les astilbes mises en jauge à l'automne dernier n'avaient pas bougé d'un pouce quand je les ai déplacées) Sur Internet il y a bien des infos, mais je n'en ai pas trouvé concernant la façon de placer les bouts de griffes envoyés par Willemse...

Dans la haie de rosiers, j'ai demandé (gentiment, je vous rassure) à Waltztime et Dame de Coeur de se pousser pour faire un peu de place à Virgo. Eux ont coopéré sans problème. Le plus embêtant finalement a été de déplacer les crocus à leurs pieds et de creuser sans abîmer ceux qui n'étaient pas encore sortis !

Les trois rosiers pré-cités normalement devraient donner des fleurs qui ressemblent à ça :

Les rosiers Michel Serrault, Monica Bellucci et Purple Lodge ont eux été installés sur le massif devant, le premier côté rue par rapport au grillage, le second à côté du yucca et l'autre à l'opposé du massif.

Ils sont censés fleurir comme cela dans quelques temps :

(d'après des images trouvées sur le web)

Par contre, je me demande comment tailler le thuya qui dépasse du grillage.

A ras de celui-ci ? Ou j'attends qu'il pousse pour faire une belle boule ? Qu'en pensez-vous ?

Pour ce qui est du rosier à sa droite, près du poteau de -la future ex- entrée dont je ne connais pas le nom mais qui s'est avéré très remontant (et décisif dans mon projet d'installer des rosiers un peu partout), j'ai taillé les branches mortes et fait un peu de nettoyage, et raffraîchi la coupe de l'herbe qui pousse à son pied. Je ne sais même pas si c'est une grosse touffe de mauvaise herbe ou une graminée volontairement plantée là ! ;-D

J'ai aussi nettoyé un peu le massif devant la maison, où je compte tracer de petits sentiers pour circuler.

Au potager, c'est un bulbe de topinambour rose qui a rejoint ses copains.

Cet après-midi, j'ai joué du sécateur. Le berbéris pourpre (je crois) du massif, les thuyas et les bambous se sont fait scalpés légèrement. Le seringat un peu plus. Quant au forsythia, lui, j'y ai été sévèrement !
Au départ j'étais partie pour juste l'aérer en enlevant quelques branches mortes. Au final, je me suis aperçue qu'une bonne partie d'entre elles l'étaient. Du coup, il est désormais bien dégarni (mais prêt à repartir sur de bonnes bases) et on voit même la cabane à oiseau installée sur une vieille souche par l'ancien propriétaire réapparaître...

Tiens, d'ailleurs, à propos de réapparaître, j'ai aussi trouvé un autre arbre dans un des thuyas... J'attends donc la floraison pour voir ce que c'est et s'il vaut le coup d'être plus dégagé.

Je sais, la sève commence à monter et ce n'est pas franchement le moment de tailler les arbustes à floraison printanière. Je sais. On va dire que je me suis laissée emporter. ;-p (En même temps, je n'ai pas vraiment "taillé" ce forsythia, je l'ai surtout débarrassé de ses branches mortes, donc ça n'a pas du lui faire trop de mal. Espérons.)

C'est plus aéré maintenant, dans le massif, vous ne trouvez pas ? (même si c'est très loin d'être terminé !)

Pour terminer ce post, un mot sur le gingko, que j'ai enfin mis en terre. Depuis qu'il attendait à sa place mais encore dans son pot...
Remarquez, comme ça il a eu le temps de faire connaissance avec ses futurs nouveaux voisins, hihi. ;-)

Avec cette photo, vous voyez également où est placé le rosier Pierre de Ronsard dont je vous parlais il y a quelques temps.

Et une belle grosse souche, qui se trouve en plein milieu de là où je vois bien le futur sentier, snif...

Devant la maison, de petites pousses vertes commencent à apparaître de-ci, de là...

Les tulipes sortent enfin, je me demandais si je les avais plantées correctement ou si les bulbes étaient encore bons.

Ouf ! Tout a l'air de bien se passer pour le moment. Je suis juste trop impatiente, sans doute...

Jolies, non, ces feuilles rayées ? Je crois qu'elles appartiennent aux tulipes Pinocchio, mais je ne pourrai en être sûre que lorsque ces dernières auront fleuri...

Les narcisses tête-à-tête apportent un peu de lumière dans le massif

Cela dit, ils sont un peu petits pour l'endroit, ils sont cachés par la bordurette. Je les déplacerai je pense...

Le printemps approche, certes, mais les mésanges ne disent tout de même pas non à un petit encas hivernal !

J'ai bien fait de placer là ce tuteur qui peut suporter une boule de graisse, j'assiste à un joli ballet chaque jour à travers la fenêtre, sans même bouger de mon canapé ! ;-p

Pour continuer ma collection.

A cause de Marguerite-Rose, j'ai craqué sur le rosier Héritage, et pourtant ce n'est pas trop mon truc, les rosiers anciens/anglais, aux fleurs chargées froufroutantes ! Mais ces pétales ! On dirait de la porcelaine. Sur les photos que j'ai vues sur le Net en tous cas, elles ont des allures très délicates.

Il est censé ressembler à ça :

Il sera donc à gauche de l'arche de l'entrée, dans le massif devant la maison.

Ont également rejoint les troupes New Look, Moonstone, Caprice de Meilland, Papa Meilland et Isabelle Autissier.

Qui sont censés ressembler à ça :

Les photos ne sont pas de moi. Pas encore... ;-p

Et un grimpant, Veilchenblau, que j'espère bien à terme voir cacher cet affreux casier électrique :

Je vous épargne les photos de toutes les plantations, qui n'ont guère d'intérêt, car évidemment, comme ça, ce n'est pas très photogénique, j'en suis bien consciente. Donc, rendez-vous quand ils auront fleuri, ça devrait être plus sympa... Que j'ai hâte ! :-)

Le cerisier à fleurs Amanogawa a quant à lui quitté sa place en jauge pour être installé à sa place définitive, près du Dôme (ne cherchez pas ce dernier, il n'est pas encore monté) :

Mais vous pouvez en revanche admirer en fond notre superbe surplus de cailloux, super mal placés ! :-(

Ah, et puis, j'allais oublier, mais j'ai aussi redonné un p'tit coup de coupe-branches au genèvrier (?) qui fait le coin de la terrasse :

Je compte lui supprimer encore quelques branches, mais pour cela il me faudra sortir cette fois les grands moyens, autrement dit la tronçonneuse...

Et Pépita a -dans la chatterie- découvert la froide poudreuse blanche pour la toute première fois...

Le moins qu'on puisse dire est que ça ne lui a pas plu ! :-D Toute frétillante, pressée de sortir, elle s'est ruée dehors. Et est rentrée encore plus vite dans l'autre sens. Son demi-tour express était hilarant, hihi !

Du coup, ce soir, Mademoiselle boudait, elle ne voulait plus voir ça :

Malo lui s'est contenté d'observer tout étonné à travers la fenêtre la neige tomber et recouvrir peu à peu le paysage :

Pour l'instant, il est privé de chatterie car à chaque fois il arrive à se carapater, par je-ne-sais-où dans le grillage, l'animal !

Quant à moi, une fois le ciel redevenu bleu gris, j'en ai profité pour faire un petit tour photo dans le jardin. Voici la récolte d'images du jour :

Vues diverses :

Les petites décos dans les bacs sur la terrasse :

Leurs accessoires tombent à pic, vous ne trouvez pas ? ;-) On dirait que la petite mésange (?) se dépêche de mettre ses petits à l'abri pour les protéger des caprices du climat, c'est amusant...

Les muscaris qui commençaient à sortir ont dû être quelque peu refroidis... Et le forsythia qui avait sorti sa toute première fleurette va peut-être changer d'avis et attendre un peu pour révéler les suivantes.

Les hellebores sensées être blanches continuent à rosir... C'est l'air frais qui leur fait monter le rose aux "joues", sans doute !

Oups... En préparant mon nouveau plan actualisé, je me suis aperçue qu'en fait ce n'était pas sur le 6ème poteau mais le 5ème que devait être placée la corde qui figure la limite de notre territoire (vu que ce n'est toujours pas borné de ce côté-là !!!).

Du coup, une fois le tir rectifié, un tas de plantations  en jauge se retrouvent "pas chez nous", et le tas de terre déborde amplement lui aussi. :-/

Euh, en fait, il est même complétement en-dehors !

La partie qui nous appartient est à droite de la ficelle :

Pourvu qu'ils ne se décident pas très prochainement à faire enfin le chemin qui doit passer par là, que j'aie le temps de déplacer tout ça avant !

Le voici, ce fameux plan à l'échelle mis à jour. ça avance... Dans ma tête du moins hihi. ;-p J'ai enfin choisi le tracé du sentier qui nous permettra de naviguer dans le massif du devant de la maison.

Les rosiers sont représentés en rose (!) et les clématites avec des astérisques orange :

On a encore bien travaillé dehors aujourd'hui...

J'ai terminé la plantation des bruyères du côté rue, et planté la clématite double pourpre dans le coin du potager. Il y avait un vieux piquet métallique qui traînait là, alors autant l'utiliser !

Avec Sylvain, on a déplacé la gloriette du garage au terrain (et inversement en fin de journée) pour voir où on la mettrait en place par la suite et marquer son emplacement.

ça ressemblera à ça en gros, avec la gloriette positionnée là où sont les piquets, à droite de la photo :

Et pendant que lui gratouillait la terre pour les plantations qui iront autour, j'ai commencé à tracer le futur "massif de la piscine" en déposant du paillis sur ses contours.

Nous avons aussi planté le grand saule pleureur. Qui pour l'instant ne pleure pas encore... Est-ce rassurant ?

Sur la terrasse, j'ai dégagé les bacs et planté des oeillets de poète :

Oui, je sais, la prochaine fois je passe un coup de brosse sur les bords avant la photo.

Oui. Mais il faut penser de temps en temps à les enlever, pour permettre aux plantes de respirer l'air frais et de faire "bronzette" au soleil. Et ce faisant, s'apercevoir qu'il est grand temps de désherber, car les mauvaises herbes aussi aiment bien "cocooner" ! ;-p Voilà donc à quoi j'ai passé une bonne partie de la matinée.

Mais j'ai aussi mis en place mon rosier Rochemenier village et le Prince Jardinier dans les massif devant la maison, et continué à planter mes bruyères côté rue. Avec le -même pas secret- espoir qu'elles se rejoignent dans quelques années pour former un parterre à la floraison quasi permanente (puisque j'ai mis des bruyères d'été et d'hiver)...

La maison ayant été livrée avec un nombre incalculable de souches, j'en ai encore enlevé pas mal.

Et gratté autant que possible autour de celles que je n'arrive pas à avoir pour les dégager au maximum.

Peut-être qu'après, à la tronçonneuse j'arriverais à les débiter...

Il y a un gros buisson moche (évidemment, c'est un avis personnel) et très envahissant (ça, c'est un fait !) sur le devant, côté rue. J'en avais déjà fait dégager une bonne partie, mais là c'est moi qui m'y suis collée pour terminer le "toilettage" et dégager l'églantier.

Eh bien je vais rester polie, donc je ne vous dirai pas à quel point j'en ai *****, mais c'était franchement une belle galère, bien épuisante !

Au passage, j'en ai profité pour dégager un maximum de branches qui avaient poussé au travers du grillage.

Pierre de Ronsard, le rosier grimpant que j'ai eu en cadeau avec une commande Promesse de Fleurs, qui se trouve à l'angle, aura ainsi plus de lumière. Et puis, ça fait plus propre, quand même !

Les personnes qui avaient commencé le travail de défrichage ayant coupé le grillage comme des cochons, sans même enlever les morceaux pris dedans, j'ai essayé de le rafistoler, mais ce n'est guère efficace. N'importe quoi ! Ils auraient pu me demander avant de le taillader, quand même !!! :-/

Avant de clôre ce post, je vous montre l'évolution de ma vasque de jacinthes :

ça y est, on les voit toutes apparaître maintenant, même si la petite dernière a pris un peu de retard sur ses copines...

Et, côté potager, les artichauts qui ont résisté (ce n'est pas le cas de tous mais la paille donnée par le voisin a quand même bien aidé), les fenouils qui entament leur troisième pousse et l'angélique qui repart pour un tour !

Ceux qui me connaissent depuis longtemps remarqueront l'ironie de la remarque. Mais des fruits cueillis à même les arbres de mon jardin, je veux bien en manger ! ;-)

Alors je fais ce qu'il faut : j'installe des baies de mai (Blue Velvet est venue rejoindre ses copines aujourd'hui, il paraît qu'elles ne donnent que si elles sont plusieurs), je remplace le prunier reine-claude verte qui n'a pas repris par un reine-claude d'Oullins, je tente la culture de mûroise près du hangar...

Voilà à quoi ressemble mon petit verger pour le moment :

Reste à faire preuve de patience...

Il m'en faudra aussi un peu pour voir les aubriètes qui ont complété les jardinières sur les bacs à vache de la terrasse retomber en cascades,

et les corbeilles d'argent mises tout à l'heure sur la bordure du massif du robinet s'étendre sur le muret, mais il faut bien commencer un jour...

Aujourd'hui nous avons eu le droit à une belle averse de grêlons. Et comme la cheminée est ouverte, ça tombait même dans le salon ! :-o

La preuve :

Ce fut un épisode météorologique bref mais intense ! ;-p

Sur les alentours du petit bassin devant, ça ressemblait à ça :

En dehors de cet épisode très hivernal, il n'a pas trop plu aujourd'hui, alors j'en ai profité pour aller un peu au jardin, mettre mon rosier grimpant Metanoïa côté rue, devant un poteau du grillage en mauvais état que j'espère le voir cacher d'ici quelques années.

J'ai aussi mis en terre dans le petit massif le long de l'escalier qui mène à la coursive deux gaillardes et trois primevères jaune orangé à tige haute.

Maman m'avait donné l'an dernier de petits pieds de roses trémières qui avaient repoussé tout seuls chez elle, et je les avais mis en jauge améliorée sur le Triangle. Je les ai enfin déplacés vers leur emplacement définitif, entre les ronds de fraisiers et les cassissiers, dans les bouleaux, au fond du jardin.

(oui, c'est vrai, pour l'instant la pelouse est vraiment toute miteuse)

J'ai d'ailleurs rajouté 3 cassissiers Neva à ceux déjà en place, et mis sur le haut du talut au bout du hangar un pied de Baie de Mai Morena et au niveau des framboisiers rajouté un Gold Everest. L'an dernier, j'ai découvert avec surprise mais plaisir les 3-4 framboises jaunes données par mon petit Fall Gold, alors je voulais en essayer une autre variété...

Travailler un peu, quand même, les minous en profitent pour se blottir contre moi sur mon plaid douillet...

Regardez-moi ce pacha bienheureux !