Ou plutôt, posé son gros popotin poilu là où il ne fallait pas.

Directement sur mes semis, cette fois ! :-/

J'espère qu'au moins quelques-uns des jeunes plants maltraités vont réussir à s'en remettre.

Et Monsieur Minou, tranquille, me fait les yeux doux.

Impossible de résister à sa petite gueule d'amour, regardez-moi ça :

A part ça, côté jardin j'ai planté sur le massif côté Sud l'anémone Annebelle, les campanules Elisabeth apportées par Marguerite Rose, ainsi que ses trois anémones du Japon sur le tour de la piscine.

Sur le massif de l'escalier, c'est un gazania jaune qui vient rapporter un peu de couleur après la fanaison des tulipes, et au fond du terrain un groseiller blanc et une baie de Goji sont venus rejoindre les autres petits fruitiers.

J'ai aussi mis en terre les derniers ajugas qui venaient de Fagnières,

dans les bacs sur la terrrasse,

entre les saponaires qui ont daigné reprendre, pour combler les trous,

mais aussi près de la gloriette, et côté Nord.

Tiens, d'ailleurs par là il y a une hellébore tout juste en fleur, elle a pris du retard celle-là !

Encore une qui ne ressemble pas à ce qu'elle devrait. J'ai acheté chez Bricomarché une rose de Noël "spotted hybrid", blanche simple picotée de grenat à l'intérieur.

Et voici ce qui est sorti :

une double, totalement blanche !

Snif. Je suis maudite.

Les autres, celles qui sont sorties dans les délais réglementaires,

sont en graines désormais :

Dans le verger, le pommier Red Love Era a fait UNE fleur.

Je me demande d'ailleurs si c'est bien lui, ou son porte-greffe, car elle me paraît bien basse...

Pour ce qui est des tulipes, Apeldoorn et Cape Town sont enfin en fleurs en même temps,

mais plus pour longtemps car les premières montrent déjà des signes de fatigue.

Et sur le massif du robinet, les tulipes Passionale pointent leurs têtes en direction du massif du côté sud, où elles seront prochainement déplacées.

Les curieuses !!!

Il y a un petit nouveau A did'l'Aïo" !

Non, il ne s'agit pas de ce chat à peu près sauvage à l'allure dégingandée et aux oreilles raplapla qui se croit chez lui chez nous, et le marque haut et fort.

Il ne s'agit pas non plus du lis nain Sugar Love désormais en fleurs sur le Triangle,

ni des heuchères qui le sont Coté Nord.

C'est Picotin, qui est arrivé aujourd'hui, pour remplacer le poisson manquant dans le petit bassin de devant.

Dans la serre, les jeunes plants issus de semis se développent bien,

les syrphes assurant la pollinisation de ceux déjà en fleurs.

A propos de choses en fleurs... Il y a tout un tas de rosiers qui se sont épanouis !

Héritage,

en qui j'avais fondé de grands espoirs à le voir si aérien et diaphane sur les différents blogs, auquel j'ai du coup réservé une place d'honneur à l'entrée et qui me déçoit un peu,

Chimène,

qui lui bien qu'acheté un peu par hasard se révèle être un vrai coup de coeur, avec sa rose solide, crème pâle au coeur saumonné, qui en plus sent bon,

Golden Celebration, aux fleurs jaune d'or jolies mais pas très durables,

un rosier en lot cadeau de Willemse qui s'avère être orange,

le petit Fairy Dance encore en attente sur le Triangle,

mais aussi Pink Perfume aux pétales étrangement dentelées,

le rosier fuchsia N°1 qui refait des fleurs qui se tiennent déjà mieux que les premières,

et cet autre reçu avec une commande Willemse qui fait de toutes petites roses rouge orangé qui éclosent en boules.

Au potager, quelques pommes de terre oubliées lors de la dernière récolte ont donné naissance à de nouveaux pieds.

Le long du hangar, entre les ceps de vigne, les rosiers Harlequin sont à présent parés de belles couleurs,

dans un dégradé de coloris chauds allant du beige au rouge en passant par le jaune et le orange.

Non loin d'eux, les delphiniums donnés par la dame de Fagnières sont désormais bien fleuris,

et bonne surprise, dans un mix de deux couleurs différentes !

Et tandis que sur le massif de l'escalier le coréopsis Rising Sun apporte un peu de lumière,

la campanule carillon blanche se marie au délicat gypsophile rose pâle du massif Côté Sud.

Par contre, à cause des pluies ininterrompues de ces derniers jours, les pétunias night sky ont été complétement délavés

Eux si beaux il y a encore quelques jours sont dorénavant principalement blancs. :-/

Si la plupart des astilbes ne sont encore  qu'en boutons, il y en a une cependant qui a pris un peu d'avance.

Quant à moi j'ai commencé à planter les géraniums vivaces entre les rosiers de la haie, mais en avance, je ne le suis pas !

Espérons que tous reprennent sans problème...

Des roses de plus en plus nombreuses dans le rosier du pilier devant,

mais aussi des oeillets blancs sur leur touffe,des pétales du rosier Héritage qui ouvre sa fleur

et du rosier qui était dans le massif de devant, celui dont je ne connais pas le nom, que je me suis contentée de tuteurer.

Il ne fleurit qu'une fois, pas longtemps mais abondament, et sent bien fort.

Malheureusement, avec le temps détestable que l'on a en ce moment, les roses ont du mal à s'épanouir et pourrissent en boutons. :-/

De chaque côté de l'allée qui mène à la maison, les géraniums vivaces prennent de l'ampleur, en compagnie des oeillets couchés fuchsia (Dianthus deltoïdes)

tandis qu'au pied de la gloriette la digitale rose voisine avec un pied de cinéraire maritime au joli feuillage argenté fortement découpé.

Je suis allée voir le jardin de Marguerite Rose "en vrai" aujourd'hui, et évidement le mien ne souffre pas la comparaison.
C'est chez elle un vrai foisonnement de plantes fleuries, absolument magnifique.

J'en ai d'ailleurs ramené quelques souvenirs à replanter, et une branche de son rosier Molineux qui était cassée égaie ma table de salon. ;-)

Aujourd'hui, ce n'était vraiment pas une bonne journée. De celles où l'on se dit que si on avait su, on serait restée couchée...

D'abord, la serre s'est écroulée, et tous mes semis se sont retrouvés par terre, les uns par-dessus les autres. 

J'ai planté "à l'arrache" les quelques-uns que j'ai réussi à récupérer pas complétement écrabouillés sur le Triangle, en les mettant juste comme ça dans la terre... Avec leur étiquette d'identification pour ceux qui en avaient encore mais ce n'est pas la majorité d'entre eux.

Je ne sais donc même pas ce que j'ai -peut-être- sauvé. :-/

Ensuite, le chat a déchiqueté un gri-gri "queue de renard" dont je comptais décorer mon sac et que je venais juste de recevoir.

Et cet après-midi, c'est la coiffeuse qui m'a ratée. Au point que j'en étais déprimée en rentrant et que je me demandais comment j'allais pouvoir coiffer ça.

J'ai pris une photo après avoir quand même repassé ma tête à l'eau histoire de voir si je pouvais dompter ma nouvelle coupe, mais je reste dépitée.

D'autant plus que j'avais demandé "la même chose que la dernière fois" car précédement ça m'avait bien plu. Il faut dire que ce n'était pas la même personne qui s'est occupée de moi... :-/ Je sens que je vais adorer passer l'été avec cette mèche qui ne tient pas ! :-/

Enfin bon, on ne va pas épiloguer sur mes relations (houleuses) avec les coiffeurs, parlons plutôt jardin !

Aujourd'hui, c'est le poivrier de Chine qui est en fleurs,

et l'achillée Cerise Queen qui déploie ses corymbes écarlates sur le massif du robinet.

Sur le massif devant la maison, un géranium sauvage est venu se mêler aux fleurs d'or du millepertuis.

Comme j'ai trouvé cette association fortuite plutôt réussie, je l'ai laissé faire... ;-)

Mes amis belges (dont la fille est ma "filleule de coeur") devant arriver aujourd'hui pour passer quelques jours avec nous, ça a été le branle-bas de combat pour faire un peu d'ordre avant qu'ils ne soient là.

La terrasse a donc été dégagée. On y voit plus clair !

Avant de l'abandonner à son sort sans soins pour quelques jours, j'ai tout de même fait un petit tour de jardin pour saluer les nouvelles arrivantes.

Une hémérocalle ("lis d'un jour", dont la fleur fâne à la fin de la journée mais est remplacée par une autre le lendemain) autour du -futur- Dôme,

de jolies fleurettes issus de mes semis en provenance de Chine ("Starphlox étoilé" en théorie, mais je ne sais pas exactement de quoi il s'agit),

quelque chose sur le Triangle qui était sensé être une trachélie, mais sur laquelle j'ai un gros doute (ça me fait plutôt penser à de la reine-des-prés, pas vous ?)...

et les campanules de la bordure de pelouse, qui ne sont pas non plus ce pour quoi elles ont été achetées... Groumpf !

Sur le massif Côté Sud, les gypsophiles blanc et rose se côtoient et le mélange est plutôt joli :

L'achillée Summer pastels du massif du Robinet présente elle aussi différents tons... Et pourtant il n'y a qu'un pied !

Quant aux roses, tandis qu'un des rosiers-cadeaux fuchsia de Willemse s'avère être un polyantha assez florifère

et que les petits Harlequin mettent le feu au bord du potager le long du hangar avec leurs coloris flamboyants,

DaCapo nous offre des pétales d'un joli rose saumoné

et Famosa se fait remarquer par l'originalité de sa couleur rose suffusée de rouge.

La rose Julio Iglesias, bien panachée à l'ouverture, tend à prendre une coloration plus uniforme en vieillissant.

Le bouton de Nostalgia quant à lui me paraît un peu suspect.

Serait-ce encore une erreur de livraison ? A voir à l'ouverture complète de la demoiselle...

Nos invités étant arrivés, nous sommes allés faire un tour dans les Jards de Châlons, où les jeux d'eau d'été sont installés,

et les enfants ont passé un moment à escalader la toile d'arraignée en corde qui trône dans le Grand Jard pendant que nous les attendions à l'ombre.

Ce soir, j'ai pu tester en bonne compagnie la fondue dans une fontaine à chocolat !

Oui, bon, ben ça paraît sympa comme ça, mais en fait ça se fige rapidement. Du coup, je n'ai pas conservé l'appareil.

Mais c'est quand même une expérience -gourmande- intéressante. ;-)

Une fois de plus, un dimanche au jardin s'est transformé en dimanche d'éradication des mauvaises herbes... Qui poussent plus vite que tout le reste !

Pendant que je m'occupais du Triangle,

arrachant et entassant tant et si bien que j'ai fini par obtenir un tas de déchets verts aussi haut que mon tas de terre !

Sylvain continuait à préparer le potager.

Apitoyé par mon air dépité à la vue des indésirables qui menaçaient d'engloutir les rosiers de la haie, il s'est même attelé à la tâche, adorable non ?

Ce n'est pas terminé, mais au moins c'est commencé ! ;-p

Ca n'a pas été de tout repos, mais à la fin de la journée le jardin était tout de même plus présentable, et surtout on pouvait distinguer ce qui y pousse :

Pendant que nous nous acharnions sur les plantes qui n'avaient rien à faire là, les fleurs profitaient de quelques rayons de soleil.

Le rosier Just Joey, qui a enfin après quelques jours un coloris plus règlementaire,

le rosier Summer Song,

en jauge améliorée sur le Triangle, qui lui apparaît beaucoup plus rouge que sur les catalogues où il semble tirer sur le vermillon, voire le terracotta, mais aussi

un lis nain (à identifier, Lollipop peut-être ?)

et la valériane des jardins (centranthus ruber albus).

Le chèvrefeuille de la chatterie embaume à plusieurs mètres,

tandis qu'à ses côtés s'épanouit un petit sauvageon dont je ne connais pas l'identité :

S'il n'est quant à lui pas particulièrement parfumé, le tilleul près de l'entrée est cependant majestueux,

et voici comment depuis la fenêtre du salon, je peux admirer sa silhouette naturellement en fuseau :

(Merci la météo tristoune pour l'ambiance grisâtre !)

Avant de vous faire découvrir l'arrière de la maison à proprement parler, je vous montre les côtés...

Le Nord d'abord, avec sa langue de pelouse, son petit muret et son allée de graviers, séparé du terrain des voisins par un grillage. Et menant pour l'instant au hangar qui appartient au même propriétaire. Mais le terrain sera fermé par la suite, celui-ci ne faisant pas partie de la vente.

Quel dommage, toute cette place "perdue". :-/ (ben oui, au Nord, en plein vent, on ne peut pas faire grand-chose...)

Et le Sud, où se situe l'entrée du garage en sous-sol et où débute un petit escalier débouchant sur le bout de la coursive de devant que je vous ai montrée hier.

La façade, avec l'espace goudronné en haut de la pente du garage (avec une porte électrique, c'est bien ça !) :

J'aime bien le lierre qui grimpe le long du mur, pas vous ?

Le même côté mais en venant de la coursive et en descendant le fameux escalier cette fois (vue de l'autre côté, quoi !) :

 Un petit massif au pied du mur, et un escalier qui mène à la terrasse de derrière :

Le proprio devait aimer les bergenias, il y en a partout ! Je ne suis pas fan, personnellement... Mais il nous a expliqué qu'il avait mis ça pour faire office de couvre-sol, pour ne pas avoir à désherber.

On se donne rendez-vous demain pour terminer le tour de l'extérieur ?

La voilà ! La première fraise mûre de la saison, et ma première fraise en tant que jardinière ! ;-) C'est probablement un peu ridicule mais j'en étais toute retournée. Quel bonheur de pouvoir manger SES propres produits, que l'on a fait pousser avec amour, chouchoutés, attendus...

Le simple fait qu'elle vienne de mon jardin me l'a fait paraître cent fois meilleure ! ;-)

Alors oui, c'est vrai, je n'ai pas désherbé mes fraisiers. Est-ce à cause de cela que ni oiseaux ni limaces n'ont touché aux jolis fruits rouges pourtant bien appétissants ? Peut-être bien...

Et mes petits plants potagers tout juste plantés ont soif. Enfin, pas trop, parce que je prends bien soin d'eux et que régulièrement en soirée je viens leur apporter de quoi se désaltérer...

Ici vous pouvez apercevoir les plants de tomates, donnés par Alain et maman, et la rangée de fenouil acheté en Bomottes. Il y a aussi un "cucurbitacé mystère" apporté par Alain (sous la cloche) et, à gauche de la rangée de fenouil, les navets. Juste devant moi, c'est mouillé parce que j'ai arrosé mes deux rangs de carotte. Un de Nantaise améliorée, et un de carotte violette.

Je vous rassure, ce que j'arrose de si haut, ce ne sont pas les pieds de tomates mais les jardinières qui se trouvent derrière, le long du hangar.

J'ai fait un troc avec l'ouvrier qui nous fait la salle de bain : en échange de la conception de son site Internet, il posera avec Sylvain le placo dans ce qui va devenir le dressing attenant  à la chambre. Les maçons ayant coulé la chappe au sol pour en égaliser la surface et lui ayant posé un velux pour apporter de la lumière, ils ont pu attaquer aujourd'hui.

Je n'y étais pas, la photo vient du portable de Sylvain qui l'a prise pour me montrer l'avancement des travaux du jour :

J'ai toujours rêvé d'avoir un hamac. Voici mon rêve partiellement réalisé.

Totalement au niveau du hamac, que j'ai choisi pour deux personnes histoire qu'il soit bien large.

Un peu moins au niveau du support, mais c'est tout de même drôlement bien que ça existe, les supports comme ça, qui permettent de profiter de l'"effet hamac" même si on n'a pas deux arbres entre lesquels le suspendre ! En plus, c'est même pas moche ! ;-)

Peut-être un jour pourrais-je suspendre un hamac entre les branches de nos arbres, mais ce ne sera probablement pas celui-là, car étant donné la taille actuelle des scions plantés, ça n'est pas prêt d'arriver ! ;-p

...ça épuise !

Après une matinée passée à faire à la peinture et au petit pinceau les finitions dans notre salle de bain à l'étage,  je me suis endormie dans le hamac que j'étais partie pour essayer quelques minutes pendant que Sylvain préparait le repas... (eh oui, ici le Chef, c'est Monsieur !)

J'ai terminé mon "chef-d'oeuvre" cet après-midi pendant que Sylvain s'occupait de monter le meuble :

C'est un système modulable : j'ai acheté le support à 4 cases, blanc, et ensuite choisi ce que j'allais mettre dedans. En l'occurence, deux blocs de trois petits tiroirs gris et deux casiers à grand tiroir blancs. Vous devriez bientôt le voir en place, si Sylvain parvint à terminer sans encombre le "puzzle".

Mention particulière pour la visseuse-dévisseuse électrique : ça change la vie ce machin ! ;-p

...ma façon de jardiner.

Ici en plein repiquage de plans de salade apportés par Alain :

Certes.

Mais avec ma fibromyalgie, si je ne le faisais pas assise ou à genoux, je ne pourrais pas le faire du tout !

Et puis, d'une part, les plantes ne s'en offusquent pas et poussent tout autant, d'autre part je suis ainsi au plus près de l'action ! ;-)

Ces quelques jours sont passés bien vite, et il est déjà temps de se quitter.

J'ai donc proposé aux parents de la demoiselle de couper la poire en deux pour le trajet et de leur rendre la demoiselle à Bouillon, à la frontière franco-belge. Nous avons pris le repas du midi ensemble dans une friterie, où j'ai découvert les spécialités frites locales (euh, j'avoue, j'ai oublié le nom... Mais mon p'tit doigt me dit qu'un commentaire va bien vite me venir en aide, hihi) et marché ensuite un peu dans la ville.

C'est là qu'une "paparazzite" ( de "paparazzi", pas de "parasite", hein !) en a profité pour nous mitrailler les enfants et moi pendant que nous flânions sur les bords de la Semois :

Aujourd'hui j'ai mis en place les fleurs achetées chez Jardiland.

Jolie non, cette primevère double ?

Si seulement elle repoussait comme ça l'an prochain... Et non simple rouge ou jaune. On verra bien !

L'avantage, c'est qu'on en profite tout de suite, contrairement aux plants achetés dans des jardineries par correspondance. L'inconvénient, c'est que d'une part c'est plus cher, et d'autre part j'ai remarqué que ça s'installait beaucoup moins bien. J'ai eu nettement plus de pertes de choses achetées en jardineries style Gamm'Vert ou Jardiland que parmi les végétaux commandés sur le Net.
Ils doivent être faits pour séduire sur le coup, pas pour survivre correctement dans nos jardins...

Donc, pour l'heure, j'ai planté primevères sur le massif côté sud, narcisses tête-à-tête devant près du petit banc et oeillet rose pour l'instant sur la terrasse.
Je retente aussi les chrysanthèmes bien que mon premier essai n'aie guère été une réussite...
Quoique en les mettant dans les potées, j'ai vu que quelques-unes repartaient... On verra lesquelles refleuriront en fin d'été prochain.

Qui eût cru qu'un jour j'achèterais pour fleurir mon jardin ces belles si souvent destinées à garnir les tombes ? Certainement pas moi en tous cas !

Que de salades, devrais-je dire plutôt. Les rouges d'Alain (que je soupçonne fortement d'être des merveilles des 4 saisons, mais il n'a pu m'en apporter confirmation) étant montées en graines en fin d'été, c'est tout un champ de petits plants qui colonisent maintenant les bords du potager.

Sauf que la dernière fois qu'il a gelé, j'ai bien cru les avoir tous perdus (en fait, quelques jours plus tard ils étaient de nouveaux tout pimpants, la Nature est merveilleuse !). Du coup, comme j'avais des cloches, je me suis dit, pourquoi ne pas les mettre dessus, ce n'est pas trop fait pour ça, mais ça pourra peut-être les protéger...

Oui, il y a aussi des plants de salade verte (je ne sais plus laquelle d'ailleurs) et de mâche, mais ces derniers décidément ne veulent pas s'étoffer...

Résultat : ça a marché, et du coup on a pu continuer à manger des salades du jardin tout au long de l'hiver. C'est pas la classe, ça ? ;-p

Aujourd'hui, j'ai aussi mis sur le "Massif du Robinet" (oui, j'ai décidé de nommer comme ça le massif créé devant le rosier et le robinet avec sa vasque de douche, à l'entrée du potager, en face de la chatterie) 5 coeurs de Marie. Mais il y en a un qui est arrivé complétement pourri, à mon avis celui-là ne reprendra jamais...

Et les plants de saponaires destinés à faire couvre-sols entre les petits fruitiers au fond du jardin.

Et les 20 plants de fraises Maestro, dans mon rond de fraisiers n°2.

J'ai aussi planté une bonne quarantaine de pieds de lavande le lond du chemin côté pelouse... Pfiouuu, c'était épuisant !

Whaou, en écrivant tout ça je m'aperçois que j'ai bien avancé aujourd'hui ! ;-D

Pour compléter les petits cadeaux de Noël que j'ai prévu pour chacun, j'avais pour projet de faire des cosmétiques personnalisés. Mais c'était sans compter mon débordement permanent, et alors que nous sommes déjà le 21 décembre je n'ai encore pas commencé à tambouiller !!!

Il va donc me falloir m'adapter et opter pour des paniers plus ou moins similaires pour les différents membres de la famille, au lieu de préparer comme je l'avais prévu un panier thématique par personne...

J'ai donc passé la journée à faire fondre, mélanger, touiller, écraser, couler, etc. dans ma pièce à tambouilles désinfectée de fond en comble et enfin bien rangée pour l'occasion.

Cette année, je répartirai donc les produits suivants :

Du savon à barbe pour peaux sensibles, du gel douche (parfum différent pour les hommes et les femmes), de la crème pour les mains (j'ai testé une nouvelle recette mais je préfère celle que je fais habituellement) et du gel après-rasage :

Mais aussi savons saponifiés à chaud (SAFour) avec mon premier marbrage à la cuillère (et aussi -mais ce n'est pas sur la photo- coulé de différentes couleurs dans des moules adaptés aux goûts des destinataires des futurs savons) et shampoings solides :

Il y a aussi des lotions florales, des baumes à lèvres et des crèmes/masques pour le visage, mais je n'ai pas pris de photos...

Et tout ça avec étiquettes maison, je vous prie ! ;-p

Tiens d'ailleurs, si un jour vous avez été bénéficiaire d'un de mes produits faits maison, je suis intéressée par vos retours, tant positifs que négatifs, pour savoir ce qui est bien et ce qui est à améliorer pour les prochaines fournées...

ça y est, le sapin est enfin décoré ! Le 22 décembre, il était grand temps !!!

On en profitera à notre retour, puisque nous allons passer Noël dans la famille de Sylvain, et plus précisément chez sa soeur en Vendée.

Pour cette année, j'ai opté pour un mélange de tons blanc, or, brun et crème, avec des décos aux accents naturels (bois, plumes...).

Coup de chance, j'avais justement des guirlandes "blanc chaud" qui se mariaient parfaitement avec ce choix de couleurs !

Voici donc le résultat :

Les températures s'étant sérieusement raffraîchies, j'ai profité de ce dimanche pour couvrir le reste des plantations qui le nécessitaient. Le jardin est maintenant tout de voiles blancs vêtu...

Sur le "Triangle" en tous cas, où les végétaux attendent en "jauge améliorée" que leur heure soit venue pour être replantés à leur place définitive :

Sylvain aussi était chaudement vêtu aujourd'hui quand il a commencé à monter la future mini-serre :

Il reste encore sa "couverture" à mettre, mais de toutes façons on a encore quelques semaines devant nous, puisqu'elle me servira à partir du moment où les semis, que je n'ai pas encore attaqués, seront assez forts pour sortir de la maison.

Au départ je ne pensais pas la mettre là, mais finalement elle sera très bien installée contre le mur de la maison, près du soupirail côté sud. C'était un coin de cailloux qui ne servait à rien, donc c'est mieux que de condamner un bout de jardin ailleurs ! La couche chaude que vous apercevez derrière va rester par là aussi je pense...

Quant à moi j'ai recouvert les affreux poteaux électriques mis par Franck avec des pylônes où j'espère bien que des rosiers grimpants (Jasmina, Musimara et Métanoïa pour cacher le coin du robinet installé au fond du jardin) vont venir vite escalader pour camoufler tout ça !

Vous apercevez aussi sur la photo le chèvrefeuille Hack's red que j'ai déniché à -70% chez Jardiland. A ce prix, ça valait le coup de lui donner sa chance, et d'ailleurs il a l'air bien parti ! ;-)

 J'ai aussi installé les vignes (de divers cépages de raisin blanc) le long du hangar et des rosiers à massif Harlequin entre les pieds.

Mais après mon p'tit déj', je n'ai malgré tout pas pu résister à l'envie d'aller faire un tour dans le jardin pour inspecter mes troupes.

Ni à la tentation de nettoyer les primevères du massif côté sud en ôtant leurs fleurs abîmées.

Du coup, je vous offre un (et même deux) petits bouquets de printemps :

Au moins, même si mes primevères de collection (oui, oui, ils les appellent comme ça chez Jardiland où je les ai eues) changent de couleurs l'an prochain, j'aurais toujours des photos de leur allure initiale. ;-p

Dans la haie de rosiers, ceux-ci bourgeonnent pendant que les crocus s'épanouissent à leurs pieds :

Ceux plantés en bulbes ne sont pas encore en fleurs, mais ceux achetés fleuris chez Jardiland, dont les têtes fleuries avait été cassées par le vent soufflant pas mal de ce côté-là, refleurissent, en s'adaptant aux conditions, c'est-à-dire plus bas pour lui offrir moins de prise. Malin ! :-)

Quant à mon petit chat, il guette mon retour pour venir s'installer contre moi sur le canapé...

Maman étant de passage par Somme-Vesle, elle nous a pris en photos en pleine action...

Gymnastique nettoyage du bassin de la gloriette pour moi

Et finition du désherbage du tour de la piscine pour Sylvain

De plus loin, ça donne ça :

Finalement, inspirée par les jolis massifs de Marguerite-Rose, j'ai décidé de faire se rejoindre la zone fleurie du tour de la piscine et le petit massif du coin en face de la gloriette, que je comptais faire pour noyer dans les plantes l'affreux poteau électrique même pas demandé là ! (Et il en manque un de l'autre côté de l'allée pour alimenter la gloriette en plus du coup maintenant !)

Il n'y aura donc qu'un seul grand "Massif de la piscine" avec des courbes douces liant ces deux parties et pour le faire rejoindre la future allée (qu'on ne peut pas finir maintenant à cause de ce maxi tas de cailloux en rab').

ça pépie dans les arbustes.

Et autour de la boule de graisse, encore plus vivement !

Les mésanges, plutôt que de s'échiner à courir voler après les rares insectes déjà de sortie, préfèrent se donner rendez-vous sous le lilas...
J'ai bien essayé d'en "saisir" une en vol, mais rien à faire, elles sont trop vives pour mon petit compact. J'essaierai à l'occasion avec le réflex.

Tout ce que j'ai réussi à obtenir est une ombre floue :

Les moineaux quant à eux se contentent des miettes qu'elles laissent tomber.

Rares sont ceux qui s'essaient à picorer la boule, et c'est sans grand succès pour ceux qui s'y risquent.

Un problème d'équilibre, sans doute.

J'ai aussi vu passer une merlette (?), un pinson (je crois) et un rouge-gorge, mais ceux-ci sont passés tellement vite que bien que j'aie pu saisir en urgence l'appareil je n'ai pu prendre qu'une seule photo (2 pour l'oiseau coloré que je soupçonne d'être un pinson).

Et tout ça depuis mon canapé, chouette, non ? ;-)

Tiens, à propos d'oiseau j'ai découvert hier que l'une de mes décos en métal avait perdu sa queue. Zut ! :-(

On n'a même pas de quoi la ressouder...

Pépita elle n'a que faire de tous ces volatiles. Elle dort. Mais pas n'importe où !

Mademoiselle apprécie les assises moelleuses en plein soleil :

Ah, et j'ai aperçu autre chose passer, de l'autre côté de la fenêtre :

Il y a un gros matou qui se balade par ici quotidiennement. ça va lui faire drôle quand il va trouver d'autres odeurs sur "son" territoire !

ça y est ! Les premiers crocus sont enfin sortis ! :-)

J'ai failli passer à côté sans les voir, tellement ils sont petits. Alors, certes, ils sont "croquignolets", mais vraiment très épars.

Je pensais bêtement que ça florissait en touffe, ces trucs-là. Mais non. Je viens tout juste de découvrir que un bulbe = une fleur. Mince, j'ai l'air maligne moi maintenant avec mes quelques crocus pointant de-ci de-là entre les rosiers !

Pourvu qu'ils invitent des copains l'an prochain et soient plus nombreux... A condition de ne pas se faire dévorer par les petits rongeurs, car dans mon inconscience je n'ai même pas mis de perce-neige avec pour éloigner ceux-ci.

Bien sûr, je ne les avais pas plantés en ligne mais en quinconce, mais ces petits rigolos n'ont rien trouvé de mieux que de pousser en file indienne !

Etrange.

Il faut croire que ces messieurs n'aiment pas l'eau, car après avoir arrosé les rosiers, quand je suis repassée, ils s'étaient tous refermés !

Autre remarque : sur les paquets, il était noté "crocus en mélange". Eh bien, ils n'ont pas dû bien mélanger car tous ceux qui sont sortis pour le moment sont de la même couleur violette !

Le printemps est désormais officiel au jardin. Les endormies se réveillent, se déploient, s'étirent... Je suis bien contente de retrouver certaines plantes dont je ne donnais pas cher de la peau mais qui finalement repartent vaillament.

Allez, je vous embarque en images pour une petite revue des troupes en l'état actuel de floraison, et vous présente quelques petites nouvelles fraîchement arrivées !

Les crocus sont enfin diversifiés :

Mais par contre leur floraison se fait par paquets.
Est-ce dû à la date de plantation, à l'ensoleillement des zones ? On verra l'an prochain si tous les pieds de rosiers sont fleuris en même temps (les crocus étant je vous le rappelle, placés au pied de ma haie de rosiers).

L'hellebore Christmas Carol refleurit, bien blanche cette fois (allez comprendre !), les forsythias illuminent le jardin (surtout par temps gris !), le cerisier (?) a laissé éclater une paire de bourgeons pour révéler ses premières fleurs, et la petite plante esseulée ressemble de plus en plus à une Gloire des Neiges.

D'ailleurs je crois bien que c'en est aussi à côté de cette jacinthe, qui est d'origine (mais pas super jolie)

Les pivoines ressemblent maintenant à de petites têtes chevelues (elles aussi étaient là avant nous) :

et les sceaux de Salomon eux me font plutôt penser à des griffes acérées :

C'est bien agréable de voir tout ça ressortir de terre.

Les primevères plantées récemment dans le massif de l'escalier, après deux floraisons décapitées par le vent, se sont adaptées et en ont refait une troisième, plus basse :

Je crois que finalement je vais laisser là les muscaris, ils créent vraiment un joli contraste. ;-)

Une primevère à feuilles dentelées (d'un autre lot que celui dont je vous parlais la dernière fois) fleurit, mais sans tige, et seule, alors qu'elle est sensée faire partie d'un trio. Les autres manquent tout bonnement à l'appel. :-( Il va falloir que je modifie mon étiquette pour la mettre au singulier. ;-p

Et, tout spécialement pour faire bisquer les voisins courtisiens avec le microclimat de Somme-Vesle, le groseiller-fleur s'épanouit de plus en plus :

Fallait pas me faire baver avec les crocus, en fleurs bien avant chez nous, na ! (Oh, les jolis bergenias qui se sont invités en bas de la photo !)

Je vous parlais de petites nouvelles.

A Jardiland, où j'avais un bon d'achat à dépenser rapidement avant qu'il n'expire, j'ai trouvé un flotteur une jacinthe d'eau, qui pour l'instant est posée sur le bassin de devant.

Et un ostéospermum, véritable petite merveille au niveau de ses dégradés :

Admirez les nuances et les frou-frous délicats de cette fleur encore à demi fermée !

Une fois de plus, je n'ai pas chômé en allant au jardin. La preuve avec un petit compte-rendu de mes travaux du jour :

J'ai déplacé les saponaires qui étaient dans le massif côté sud (plantées l'an dernier, elles ont bien évolué depuis, ce qui n'est pas évident ici puisque je les ai retaillées avant de prendre la photo) pour les mettre entre les pieds des petits fruitiers.

D'ailleurs, la haie a été rallongée des framboisiers Héritage, Golden Everest et Black Jewel.

Les saponaires seront remplacées dans le massif par des oeillets qui attendent sur la table dans leurs petits pots que j'aie 5 minutes pour m'occuper d'eux...

J'ai planté les framberries (croisement de fraise et de framboise) dans le petit rond de fraisiers.

Tant que j'étais par là en ai profité pour désherber les deux.

Les phloxs sont venus rejoindre les plantes composant le tour du Dôme.

J'ai bien essayé de creuser un trou pour planter mon mini poirier Garden Pearl trouvé à -70% chez Jardiland...

Mais impossible !

C'est trop dur, on tombe tout de suite dans la craie. :-(

Même chose pour le coin de la haie de rosiers à l'avant du hangar. Même en essayant de noyer pour ameublir le sol, rien à faire !

Une mission pour Sylvain, donc...

Du coup, je suis allée me défouler sur les souches du massif devant.

Il en reste encore un bon paquet à déterrer !

Côté Nord, j'ai mis en terre les astilbes avec les autres, mais je ne sais pas trop comment procéder et du coup je ne suis pas sûre de bien faire... Vu que rien ne sort ! (les astilbes mises en jauge à l'automne dernier n'avaient pas bougé d'un pouce quand je les ai déplacées) Sur Internet il y a bien des infos, mais je n'en ai pas trouvé concernant la façon de placer les bouts de griffes envoyés par Willemse...

Dans la haie de rosiers, j'ai demandé (gentiment, je vous rassure) à Waltztime et Dame de Coeur de se pousser pour faire un peu de place à Virgo. Eux ont coopéré sans problème. Le plus embêtant finalement a été de déplacer les crocus à leurs pieds et de creuser sans abîmer ceux qui n'étaient pas encore sortis !

Les trois rosiers pré-cités normalement devraient donner des fleurs qui ressemblent à ça :

Les rosiers Michel Serrault, Monica Bellucci et Purple Lodge ont eux été installés sur le massif devant, le premier côté rue par rapport au grillage, le second à côté du yucca et l'autre à l'opposé du massif.

Ils sont censés fleurir comme cela dans quelques temps :

(d'après des images trouvées sur le web)

Par contre, je me demande comment tailler le thuya qui dépasse du grillage.

A ras de celui-ci ? Ou j'attends qu'il pousse pour faire une belle boule ? Qu'en pensez-vous ?

Pour ce qui est du rosier à sa droite, près du poteau de -la future ex- entrée dont je ne connais pas le nom mais qui s'est avéré très remontant (et décisif dans mon projet d'installer des rosiers un peu partout), j'ai taillé les branches mortes et fait un peu de nettoyage, et raffraîchi la coupe de l'herbe qui pousse à son pied. Je ne sais même pas si c'est une grosse touffe de mauvaise herbe ou une graminée volontairement plantée là ! ;-D

J'ai aussi nettoyé un peu le massif devant la maison, où je compte tracer de petits sentiers pour circuler.

Au potager, c'est un bulbe de topinambour rose qui a rejoint ses copains.

Cet après-midi, j'ai joué du sécateur. Le berbéris pourpre (je crois) du massif, les thuyas et les bambous se sont fait scalpés légèrement. Le seringat un peu plus. Quant au forsythia, lui, j'y ai été sévèrement !
Au départ j'étais partie pour juste l'aérer en enlevant quelques branches mortes. Au final, je me suis aperçue qu'une bonne partie d'entre elles l'étaient. Du coup, il est désormais bien dégarni (mais prêt à repartir sur de bonnes bases) et on voit même la cabane à oiseau installée sur une vieille souche par l'ancien propriétaire réapparaître...

Tiens, d'ailleurs, à propos de réapparaître, j'ai aussi trouvé un autre arbre dans un des thuyas... J'attends donc la floraison pour voir ce que c'est et s'il vaut le coup d'être plus dégagé.

Je sais, la sève commence à monter et ce n'est pas franchement le moment de tailler les arbustes à floraison printanière. Je sais. On va dire que je me suis laissée emporter. ;-p (En même temps, je n'ai pas vraiment "taillé" ce forsythia, je l'ai surtout débarrassé de ses branches mortes, donc ça n'a pas du lui faire trop de mal. Espérons.)

C'est plus aéré maintenant, dans le massif, vous ne trouvez pas ? (même si c'est très loin d'être terminé !)

Pour terminer ce post, un mot sur le gingko, que j'ai enfin mis en terre. Depuis qu'il attendait à sa place mais encore dans son pot...
Remarquez, comme ça il a eu le temps de faire connaissance avec ses futurs nouveaux voisins, hihi. ;-)

Avec cette photo, vous voyez également où est placé le rosier Pierre de Ronsard dont je vous parlais il y a quelques temps.

Et une belle grosse souche, qui se trouve en plein milieu de là où je vois bien le futur sentier, snif...